Les abus de pouvoir existent quand les prédateurs pensent qu’il y a impunité.
En l’occurrence, les agissements de harcèlement sexuel sur des femmes ont pris place depuis trop longtemps déjà.
Pour que la peur change de camp
Les personnes se croyaient intouchables désormais la sanction doit être lourde pour que la peur change de camp.
Ce type d’action est inqualifiable et indigne du service public et de toute rédaction.
Lors de la réunion de la commission égalité professionnelle Femmes Hommes du Siège, ce n’est pas faute d’avoir demandé à la direction quels types d’actions étaient menées contre ce type d’agissements et ce depuis la révélation de l’affaire Weinstein. La réponse était : le numéro vert et l’action Post-it.
L’article de Libération fait état de séminaires qui ont eu lieu pour rétablir l’ordre du service mais ce ne sont pas des séminaires qui doivent se tenir dans des cas comme celui-ci, mais simplement des prises de décisions fermes pour mettre à la porte ces prédateurs sexuels.
On ne peut pas être tiède avec ce genre de sujet car trop grave et car cela laisse la porte ouverte à tout type de dégradation psychologique, humaine et physique.